#beauté du passé
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behindblueeyesrpg · 20 days ago
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[behind blue eyes]
inspiration : outer banks.
BEHIND BLUE EYES Charleston ; 2024 — Sous les chênes centenaires drapés de mousse espagnole, se camoufle doucereuse beauté aux apparences trompeuses. Élégance pour façade, outil parfaitement manipulé pour dissimuler les vérités qu’on ne veut pas dévoiler. Derrière chaque regard, un secret qu’on tait, des désirs non assumés et des murmures étouffés. Entre belles bâtisses aux balcons en fer forgé qui crachent leur luxe aux visages des plus modestes, déshérités de toute fortune sans la chance d’être privilégié, la ville oscille entre le faste et la déchéance, entre l’illusion et une réalité plus rude à assumer.
en plus ; un rp par mois ; une semaine pour terminer sa fiche ; pas de minimum de mots ; respect des tw ; premier dc offert ; rythme chill. Voilà deux mois que behind blue eyes a ouvert. Deux mois où nous avons pu découvrir vos idées, vos personnages, faire évoluer le forum aux côtés de membres géniaux et continuer l'aventure. L'équipe administrative se considère on-ne-peut-plus chanceuse de voir le bébé grandir de jour en jour. Le forum a passé la période de rush intense des débuts et se veut, comme depuis le premier jour, un forum qui reste et face son petit (grand) bout de chemin sur le RPG.
Nous n'attendons plus que vous. Chaque personnage est le bienvenue, nous n'avons qu'une hâte, celle de découvrir vos merveilles. Allant du doux au plus sombre, la palette de personnages est immense et chacun peut s'y faire sa place. ♡
Alors, vous attendez quoi ?? 👀
REJOIGNEZ-NOUS: https://behindblueeyes.forumactif.com/
DISCORD : https://discord.gg/6YqF3baN
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septperceptions · 5 months ago
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Je suis une amoureuse de l'amour. Je passe mon temps à romantiser ma vie. À voguer dans le passé. À me balader dans mes précieux souvenirs. Je chéris ma mémoire pour protéger mes souvenances. Le mécanisme du cerveau me fascine. Ce pouvoir de filtrer les aspects négatifs d'un traumatisme avec le temps ou même de le dissoudre entièrement. La vie m'a offert le cadeau de ressentir intensément, le monde appelle ça l'hypersensibilité. Il est vrai, que l'émotion me frappe comme les vagues sur le sable. Je suis un torrent, j'aime les détails et leur beauté. J'observe tout ce qui est transparent, imperceptible. J'oublie souvent ce qui est flagrant. Je trouve du réconfort dans les silences, je me perds dans les nuances. C'est à travers cette intensité que je me connais, que je découvre le monde et que je m'y ancre.
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mrsines · 3 months ago
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Jalousie
À la demande de @harknessshi en espérant que ça va te plaire.
29"Pouvez-vous s'il vous plaît arrêter d'être si jaloux pendant une seconde"
Agatha x Lecteur
Reader, membre du Coven d'Agatha, se tenait là, entourée par ses anciennes amies et nouvelles compagnes d'aventure. Leurs regards se croisaient dans une ambiance chargée d'électricité, alors qu'elles se préparaient à affronter la nouvelle épreuve, celle d'Alice. L'air était saturé d'excitation et d'anticipation, chaque sorcière arborant un style rock qui tranchait avec le passé traditionnel de leur magie. Reader, avec son jean similicuir noir qui brillait légèrement sous les lumières, dégageait une aura de confiance. Son t-shirt en col en V noir, ajusté à sa silhouette, ajoutait une touche de mystère, tandis que sa veste rouge flamboyante, presque comme une armure, attirait tous les regards.
Agatha, bien qu'elle se tenait parmi elles en tant que leader, ne pouvait s'empêcher de jeter des coups d'œil vers Reader. Les souvenirs de leur amitié à Salem, teintés de rires et de secrets partagés, s'entrelaçaient avec le ressentiment causé par la quête insatiable de pouvoir d'Agatha. La tension entre elles était palpable, un mélange de nostalgie et de rivalité, comme une danse délicate entre le passé et le présent. Reader, consciente de ce regard insistant, ressentait un frisson parcourir son corps , à la fois intriguée et méfiante.
Autour d'elles, Jen, Alice et Lilia, et l'adolescent pleine de fougue, semblaient prêtes à plonger dans l'inconnu. Les éclats de rire et les murmures enthousiastes résonnaient, mais pour Reader, tout cela était assourdi par le poids de son histoire avec Agatha.
Dans l'atmosphère électrique de la salle, Jen ne pouvait s'empêcher de contempler Reader, son regard captivé par sa beauté saisissante. La façon dont Reader ajustait sa veste rouge, les mouvements fluides de ses bras, la manière dont ses cheveux tombaient en cascade sur ses épaules, tout cela faisait battre son cœur un peu plus vite. Jen, déterminée à ne pas laisser passer sa chance, prit une profonde inspiration et s'approcha de Reader.
« Hé, tu sais que cette veste te va à merveille ? » lança Jen avec un sourire charmeur, sa voix douce mais pleine de confiance.
Reader tourna la tête, surprise, mais un sourire se dessina sur ses lèvres. « Merci, Jen. »
« Tu es absolument incroyable, » répondit Jen, s'approchant un peu plus, ses yeux pétillants d'admiration. « Je veux dire, qui d'autre pourrait porter du similicuir et du rouge avec autant de classe ? »
Agatha, observant la scène de loin, plissa les yeux, un regard noir et méfiant s'installant sur son visage. Elle ne pouvait s'empêcher de ressentir une vague de jalousie en voyant Jen flirter avec Reader sous son nez.
« Jen, tu devrais peut-être te concentrer sur l'épreuve plutôt que sur… disons, des distractions, » intervint-elle d'une voix glaciale, le ton chargé de menace.
Reader, consciente de la tension qui montait, essaya de garder son calme. « Je pense que nous avons tous besoin d'un peu de distraction avant de plonger dans ce qui nous attend, tu ne pense pas Agatha ? » dit-elle, lançant un regard complice à Agatha
« Exactement ! » s'exclama Jen, ignorant délibérément le ton d'Agatha. « Et puis, je suis sûre que nous allons toutes briller. Mais je dois admettre, Reader, que c'est toi qui voles la vedette. »
Le regard d'Agatha se durcit encore plus, mais elle ne pouvait pas s'opposer à l'énergie qui émanait de Jen et Reader. La tension était palpable, une bataille silencieuse entre l'amitié, la rivalité et l'attirance.
~oOo~
Agatha était assise dans la cabine de son, le regard perdu dans le vide, la tension palpable dans l'air. Chaque fois qu'elle voyait Jen s'approcher de Reader, une vague d'irritation l'envahissait. Elle levait les yeux au ciel, sa frustration se manifestant par un léger soupir.
Reader, qui avait remarqué l'humeur d'Agatha, décida de la suivre. Elle entra dans la cabine et ferma doucement la porte derrière elle.
"Peux-tu s'il te plaît arrêter d'être si jalouse pendant une seconde ?" demanda Reader, son ton léger mais direct.
Agatha éclata de rire, un son qui trahissait une nervosité sous-jacente. "Je ne suis pas du tout jalouse," répondit-elle, feignant l'indifférence.
Reader croisa les bras, un sourire amusé sur le visage. "Ah, donc je peux passer tout mon temps avec Jen, ça ne te dérange pas ?"
Agatha leva à nouveau les yeux au ciel, silencieuse, son expression trahissant son malaise. Reader s'approcha d'elle, s'asseyant sur le bord de la chaise.
"J'aime bien te voir jalouse, mais ce n'est pas ce qui te va le mieux," ajouta-t-elle, son regard perçant cherchant à capter l'attention d'Agatha.
Agatha détourna le regard, mais un léger sourire se dessina sur ses lèvres. "Tu sais que je préfère quand tu es avec moi," murmura-t-elle finalement, la jalousie se mêlant à une affection indéniable.
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iranondeaira · 2 months ago
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Texte de Jacques SALOMÉ
« J’ai appris que l’existence de chacun d’entre nous n’est faite que de rencontres et de séparations et qu’il nous appartient de les vivre en acceptant de nous positionner avec courage, de nous respecter avec ténacité et de nous responsabiliser avec cohérence face au surgissement de l’imprévisible.
J’ai appris encore qu’il y a toujours une part d’étonnement dans le déroulement des jours et donc qu’il m’appartenait de savoir accueillir les cadeaux inouïs de faire face aux difficultés qui peuvent surgir dans l’immensité d’un jour.
J’ai appris bien sûr à vivre au présent, à entrer de plain-pied dans l’instant, à ne pas rester prisonnier de mon passé et à ne pas me laisser envahir par des pensées persécutrices ou par des projections trop chimériques sur mon futur.
J’ai appris tardivement à remercier, chaque matin, la VIE d’être présente en moi et autour de moi, à l’honorer avec mes possibles, à la respecter en tenant compte de mes limites, à la dynamiser avec les ressources de ma créativité.
J’ai appris difficilement à m’aimer, non d’un amour narcissique ou égocentrique (même si la tentation est parfois grande) mais d’un amour de bienveillance, de gratitude et de tolérance envers la personne que je suis.
J’ai appris avec beaucoup de tâtonnements à me respecter en osant dire non quand je suis confronté à des demandes ou des désirs qui ne correspondent pas à mes possibles ou à ma
sensibilité.
J’ai appris avec enthousiasme que la beauté est partout, dans le vol d’un oiseau, dans les murmures du vent, comme dans le geste d’un enfant pour tenter de capter le vol d’un papillon ou encore dans le sourire d’un vieillard qui croise mon regard et surtout dans la présence d’une personne qui pour l’instant ne m’a pas encore quitté !
J’ai appris patiemment que ne nul ne sait à l’avance la durée de vie d’un amour et que toute relation amoureuse, aussi merveilleuse soit elle, est une relation à risques. Des risques que j’assume en acceptant de prendre soin de mon amour et d’amplifier en moi l’amour de celle qui m’a offert le sien.
J’ai appris douloureusement que je n’ai pas assez pris de temps pour regarder mes enfants quand ils étaient enfants, que j’aurais dû savoir rire, jouer, parler plus souvent avec eux, chaque fois qu’ils me sollicitaient.
J’ai découvert que je n’ai pas toujours su les entendre et les accueillir dans leurs attentes, leurs projets ou leurs rêves.
Que j’avais trop souvent déposé sur eux mes peurs et mes désirs, tant je voulais, avec beaucoup d’aveuglement, le meilleur pour eux.
J’ai appris avec beaucoup de surprise que le temps s’accélérait avec l’âge et qu’il devenait chaque jour plus urgent d’ajouter de la vie aux années que des années à la vie.
J’ai appris que je pouvais oser demander, si je prenais le risque de la réponse de l’autre aussi frustrante ou décevante qu’elle puisse être.
Que je pouvais recevoir sans me sentir obligé de rendre ou d’être en dette, que je pouvais donner sans envahir l’autre par mon besoin de me sentir généreux, que je pouvais refuser sans confondre la personne et sa demande.
J’ai appris, dans le désordre, que j’avais des besoins relationnels et qu’il était vital de ne pas les confondre avec mes désirs.
J’ai appris avec soulagement que je pouvais désapprendre les pseudos connaissances vaines dont j’avais encombré mon esprit, que je pouvais me défaire de tant d’objets inutiles accumulés durant des années, que je pouvais élaguer dans les urgences que je m’imposais.
J’ai appris joyeusement à planter des arbres, c’est le cadeau le plus vivant que je pouvais faire à cette planète merveilleuse qui nous a accueillis, nous les humains, avec une incroyable générosité et peut être aussi une grande naïveté.
J’ai appris doucement à recevoir le silence, à prendre le temps de méditer quelques minutes chaque jour pour me reconnecter aux vibrations subtiles de l’univers et me réconcilier avec cette parcelle de divin reçue lors de ma conception.
Oui j’ai appris beaucoup dans mon existence et pourtant j’ai toujours en moi, ce désir, cette recherche de quelque chose de plus essentiel qui pourrait s’appeler un brin de sagesse !
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vicnormansstuff · 7 months ago
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Merci à Christophe Clavé pour cette éclairage sur l’appauvrissement de la langue et la ruine de la pensée 🙌
"La disparition progressive des temps (subjonctif, passé simple, imparfait, formes composées du futur, participe passé…) donne lieu à une pensée au présent, limitée à l’instant, incapable de projections dans le temps.
La généralisation du tutoiement, la disparition des majuscules et de la ponctuation sont autant de coups mortels portés à la subtilité de l’expression.
Supprimer le mot «mademoiselle» est non seulement renoncer à l’esthétique d’un mot, mais également promouvoir l’idée qu’entre une petite fille et une femme il n’y a rien.
Moins de mots et moins de verbes conjugués c’est moins de capacités à exprimer les émotions et moins de possibilité d’élaborer une pensée.
Des études ont montré qu’une partie de la violence dans la sphère publique et privée provient directement de l’incapacité à mettre des mots sur les émotions.
Sans mot pour construire un raisonnement, la pensée complexe chère à Edgar Morin est entravée, rendue impossible.
Plus le langage est pauvre, moins la pensée existe.
L’histoire est riche d’exemples et les écrits sont nombreux de Georges Orwell dans « 1984 » à Ray Bradbury dans « Fahrenheit 451 » qui ont relaté comment les dictatures de toutes obédiences entravaient la pensée en réduisant et tordant le nombre et le sens des mots.
Il n’y a pas de pensée critique sans pensée. Et il n’y a pas de pensée sans mots.
Comment construire une pensée hypothético-déductive sans maîtrise du conditionnel ? Comment envisager l’avenir sans conjugaison au futur ? Comment appréhender une temporalité, une succession d’éléments dans le temps, qu’ils soient passés ou à venir, ainsi que leur durée relative, sans une langue qui fait la différence entre ce qui aurait pu être, ce qui a été, ce qui est, ce qui pourrait advenir, et ce qui sera après que ce qui pourrait advenir soit advenu ? Si un cri de ralliement devait se faire entendre aujourd’hui, ce serait celui, adressé aux parents et aux enseignants : faites parler, lire et écrire vos enfants, vos élèves, vos étudiants.
Enseignez et pratiquez la langue dans ses formes les plus variées, même si elle semble compliquée, surtout si elle est compliquée. Parce que dans cet effort se trouve la liberté. Ceux qui expliquent à longueur de temps qu’il faut simplifier l’orthographe, purger la langue de ses «défauts», abolir les genres, les temps, les nuances, tout ce qui crée de la complexité sont les fossoyeurs de l’esprit humain. Il n’est pas de liberté sans exigences. Il n’est pas de beauté sans la pensée de la beauté."
Christophe Clavé
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ludivinevanckerwisky · 1 month ago
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Entre Tes Cuisses, Mon Amour
Résumé : Brisée par les jugements de vos anciens amants, tu découvres auprès de Spencer un amour sincère qui t'aides à retrouver confiance en toi et à embrasser la beauté de ton corps.
Avertissements : manque de confiance en soi, MINEURS DE 18 ANS ET PLUS DNI, mentions de relation passé douleureuse, exhibitionnisme, dynamique dom/sub, doigté, sexe oral (f recevoir), éjaculation féminine, orgasmes, surstimulation . Dom ! Spencer.
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Dans la salle de bain de ton appartement, enroulée dans une simple serviette, les cheveux encore humides, tu te regardais dans le miroir.
Tes yeux glissèrent sur tes cuisses, ces cuisses qui se touchaient, et une vague de dégoût monta en toi. À tes yeux, elles n’étaient qu’un amas de graisse indésirable.
Pourtant, elles n’avaient pas toujours été un problème. Avant, elles faisaient simplement partie de toi.
Mais ce "avant" semblait si lointain. Tout avait changé ce jour où un ex, sans la moindre délicatesse, avait refusé de te faire une fellation. Son excuse ? Tes cuisses étaient "trop grosses". Ces mots, glacials, s’étaient inscrits en toi comme une marque au fer rouge : — Même quand on baisse, je les sens et ça me dégoûte. Tu devrais perdre un peu de poids. Ce fut le début d’un long défilé de critiques.
D’autres partenaires avaient été moins directs, mais leurs regards ou les remarques de leurs amis parlaient pour eux. Avec le temps, tu avais appris à dissimuler ce que tu considérais comme une honte, allant jusqu’à enrouler du scotch autour de tes cuisses pour en comprimer le volume.
Ce soir, cependant, tout était différent. Spencer, ton collègue devenu ton petit ami, t’avait invitée à regarder un film chez lui. Vous aviez commencé à vous rapprocher après une mission où tu l'avais aidé à préparer ses tests physiques.
Trois mois s’étaient écoulés depuis, et malgré tes doutes constants, Spencer ne semblait voir en toi qu’une personne magnifique. Pourtant, l’angoisse était toujours là.
Ce soir, tu avais opté pour un pantalon ample qui tombait élégamment sur tes hanches, accompagné d’un t-shirt ajusté qui mettait en valeur ta poitrine généreuse.
Ce choix vestimentaire n’avait pas été facile. Pendant de longues minutes, tu avais hésité devant le miroir, tiraillée entre l’envie de te sentir belle et la peur des jugements. Les souvenirs des remarques acerbes et des critiques passées résonnaient encore dans ton esprit, te rappelant les commentaires déplacés sur ta poitrine, trop "voyante" aux yeux de certains.
Mais quand tu es arrivée chez lui, il t’accueillit avec son sourire chaleureux et une phrase qui te fit vaciller :
— Tu es magnifique.
Tu baissas les yeux, murmurant un merci à peine audible. Il fit comme s’il n’avait pas remarqué ta gêne et te guida jusqu’au canapé.
Dans son salon, Spencer avait préparé un film romantique, une de ces histoires qui ne t'intéressaient pas d'habitude.
Pourtant, il avait insisté, et tu avais fini par céder. Alors que le film avançait, tu te retrouvais étrangement captivée par l’histoire de deux âmes tourmentées par leurs insécurités.
L’un, persuadé d’être trop laid pour mériter l’amour, et l’autre, convaincu que sa beauté était une malédiction.
Peu à peu, il se rapprocha. Sa main glissa doucement sur ton genou, un geste qui aurait pu passer inaperçu pour quelqu’un d’autre, mais qui, pour toi, était une onde de choc. Tu te tendis, ton corps se raidissant automatiquement.
— Hé, c’est juste moi, murmura-t-il.
Tu sentis la chaleur monta en vous et le désir s'installait alors qu'l déposait des baisers dans votre cou.
Mais l’anxiété en toi monta d’un cran quand sa main glissa sur ta cuisse. Tu savais que le scotch était là, et tu ne voulais pas qu’il le découvre. Tu repoussas sa main brusquement.
— Arrête, murmuras-tu, la voix tremblante.
Le reste de la soirée passa dans un silence tendu. Quand le film se termina, tu pris rapidement tes affaires, évitant tout contact visuel avec Spencer.
Tu refusas qu’il te raccompagne et rentras chez toi, la gorge serrée, tes pensées envahies par un mélange de honte et de douleur.
De retour chez toi, tu te laissas tomber sur ton lit, les pensées tournant en boucle. Tu ne pouvais pas continuer comme ça, mais comment expliquer ce poids que tu portais ? Comment lui dire ce que tu cachais depuis si longtemps ?
Il était tard quand on frappa à ta porte. D’abord, tu hésitas à ouvrir, mais la persistance du coup frappé te força à te lever.
En ouvrant, tu découvris Spencer, debout dans l’encadrement de la porte, les bras croisés et une expression inquiète sur le visage.
— Spencer ? Qu’est-ce que tu fais là ?
— Je ne pouvais pas te laisser comme ça, répondit-il simplement.
Tu voulus protester, mais il entra avant que tu ne puisses dire quoi que ce soit.
— Écoute, je ne sais pas ce qui se passe, mais je sais que tu souffres, et je refuse de te laisser affronter ça toute seule.
Ces mots te frappèrent en plein cœur. Tu voulus lui répondre, mais ta voix se brisa avant que tu ne puisses formuler une phrase cohérente. Il s’approcha, posant une main rassurante sur ton bras.
— Parle-moi, s’il te plaît. Tu détournas les yeux, cherchant les mots. Finalement, dans un souffle, tu lâchas :
— Tu ne comprendrais pas.
— Alors explique-moi, insista-t-il doucement.
Tu pris une profonde inspiration avant de murmurer :
— Ce sont mes cuisses. Elles sont…difformes, trop grosses. J’ai… J’ai toujours fait en sorte de les cacher.
Il fronça légèrement les sourcils, mais pas de jugement dans son regard, seulement de la curiosité et une profonde tristesse pour ce que tu semblais endurer.
— Montre-moi, dit-il simplement.
Tu hésitas longuement puis finalement tu le conduis dans ta chambre et tu baissas ton pantalon, révélant le scotch enroulé autour de tes cuisses.
Tes mains tremblaient, et ton cœur battait si fort que tu étais sûre qu’il pouvait l’entendre.
Spencer s’agenouilla devant toi, ses yeux scrutant chaque détail sans jamais montrer autre chose que de la compassion.
Avec une infinie douceur, il commença à retirer le scotch, morceau par morceau, prenant soin de ne pas te faire mal.
Ses gestes étaient lents, presque rituels, comme s’il voulait te montrer que chaque partie de toi méritait d’être vue et acceptée.Quand il eut terminé, il leva les yeux vers toi, un léger sourire aux lèvres.
— Tes cuisses ne sont pas trop grosses. Elles sont parfaites.
Tu laissas échapper un rire nerveux, une larme roulant sur ta joue.
— C’est ce que tu dis maintenant. Mais si tu savais ce que les autres ont dit…
Il posa une main sur ta cuisse, ferme mais rassurante.
— Je m’en fiche de ce que les autres ont dit. Ce que je vois, c’est toi. Et tu es sublime.
Avant que tu ne puisses répondre, il se pencha et déposa un baiser doux sur ta cuisse, puis un autre, comme pour effacer chaque mot cruel qui t’avait blessée par le passé.
Les larmes coulèrent librement, mais cette fois, elles n’étaient pas seulement de douleur. C’était comme si une partie de toi commençait enfin à guérir.
Spencer continua de te tenir dans ses bras, sa chaleur enveloppant ton corps encore tremblant d’émotion. Ses mains caressaient doucement ton dos, des gestes qui semblaient vouloir apaiser les plaies invisibles que tu portais depuis si longtemps.
Tu te sentais vulnérable, mais pas exposée. Avec lui, cette vulnérabilité ressemblait davantage à une libération qu’à un poids.
Il releva doucement ton visage pour croiser ton regard, essuyant une larme du bout des doigts.
— Je veux que tu te sentes belle. Pas pour moi, pas pour quelqu’un d’autre. Juste pour toi, murmura-t-il.
Tu déglutis, incapable de répondre, mais tes mains agrippèrent son pull, comme si tu avais peur qu’il disparaisse. Il comprit ton geste sans que tu aies besoin de parler.
Lentement, il posa ses lèvres sur les tiennes, un baiser doux, sans précipitation. C’était comme s’il te donnait tout le temps du monde pour répondre, pour te sentir prête.
Ton corps finit par réagir presque instinctivement. Tes mains glissèrent sous son pull, explorant timidement la chaleur de sa peau.
Il frissonna légèrement sous ton toucher mais ne rompit pas le contact, approfondissant le baiser, son souffle se mêlant au tien.
Spencer te guida doucement vers le lit, ses mouvements toujours empreints de tendresse. Il t’allongea avec précaution, se penchant au-dessus de toi tout en continuant à t’embrasser.
Ses lèvres quittèrent les tiennes pour explorer ton cou, puis tes épaules, tandis que ses mains caressaient doucement tes hanches. Chaque geste semblait calculé pour te faire comprendre qu’il n’y avait aucune urgence, aucune attente. Il prit le temps de te regarder, son regard captivé par chaque centimètre de ton corps.
Quand il murmura « Tu es magnifique », tu ne pus t’empêcher de sourire timidement, même si tu ne le croyais pas encore complètement.
— Laisse-moi te montrer combien tu es précieuse, dit-il, sa voix grave et pleine d’émotion.
Il glissa ses mains sous ton pull que tu avais enfilé après être rentré, le retirant lentement pour révéler ta peau. Il s’arrêta plusieurs fois, ses yeux scrutant les tiens pour s’assurer que tu étais à l’aise. Quand tu hochas légèrement la tête, il continua, jusqu’à ce que tu sois en sous-vêtements devant lui.
Son regard s’arrêta sur tes cuisses, mais il n’y avait aucune trace de dégoût ou de jugement. Au contraire, il semblait émerveillé, ses doigts traçant des lignes invisibles sur ta peau. Il se pencha et déposa un baiser sur l’une de tes cuisses, puis l’autre, prenant son temps, comme pour te faire comprendre que cette partie de toi qu’on t’avait appris à haïr était, pour lui, une source de fascination.
Ses lèvres continuèrent leur chemin, descendant doucement, tandis que ses mains exploraient ton corps avec une douceur infinie. Tu sentais ton corps s’éveiller sous ses caresses, une chaleur familière montant en toi, mais cette fois, elle n’était pas entachée de honte.
— Dis-moi si je vais trop vite, si quelque chose te met mal à l’aise, murmura-t-il en déposant un dernier baiser sur ton ventre.
Tu secouas la tête, tes mains venant se poser sur ses épaules pour le rapprocher encore de toi.
— Continue, soufflas-tu, ta voix tremblante, mais emplie de désir.
Spencer obéit, mais toujours à son rythme, toujours attentif à tes réactions. Quand il fit glisser tes sous-vêtements, il s’arrêta un instant, te laissant respirer, te laissant choisir de continuer.
Et quand tu ouvris légèrement les jambes, lui donnant la permission silencieuse d’aller plus loin, il te donna tout.
Ses lèvres parcoururent ton corps avec une lenteur calculée, comme s’il voulait imprimer chaque sensation dans ta mémoire. Il alternait entre douceur et intensité, laissant ses baisers et sa langue tisser une toile de plaisir sur ta peau.
Chaque frisson qu’il éveillait en toi semblait être une réponse silencieuse, une preuve de l’effet qu’il avait sur toi.
Ses mains, chaudes et fermes, s’attardèrent sur tes hanches, caressant chaque courbe avec une attention presque révérencieuse.
Ses doigts effleuraient la ligne de ton ventre, puis remontaient pour explorer les contours de ta poitrine, avant de redescendre pour s’attarder sur l’intérieur de tes cuisses.
Là, ses gestes devinrent plus insistants, plus précis, comme s’il cherchait à découvrir chaque nuance de ton plaisir. Ton souffle devint irrégulier, se mélangeant à de légers gémissements que tu ne pouvais plus retenir.
Ton corps réagissait instinctivement, se cambrant légèrement sous ses caresses, comme pour l’inviter à continuer, à aller plus loin.
Spencer semblait le comprendre sans que tu aies à dire un mot. Ses mouvements s’intensifièrent, et lorsqu’il glissa ses lèvres entre tes jambes, un feu sembla se propager à travers tout ton être.
Il prenait son temps, explorant chaque recoin de ton intimité avec une maîtrise qui te laissa sans voix. Sa langue traçait des cercles lents, puis rapides, alternant les rythmes pour te garder en haleine.
Chaque geste semblait conçu pour te faire monter plus haut, te rapprocher du point de non-retour.
Tes mains quittèrent les draps pour trouver refuge dans ses cheveux, s’y agrippant légèrement comme pour ancrer cette réalité.
— Spencer... lâchas-tu dans un souffle, ta voix tremblante de plaisir et d’émotion.
Il releva légèrement les yeux vers toi, et son regard, intense et brûlant, te transperça.
Il te regardait comme si rien d’autre n’existait, comme si son seul but était de te voir t’abandonner complètement à lui. Cela te fit chavirer, et tu sentis ton cœur s’accélérer encore plus.
Ses doigts vinrent s’ajouter à ses caresses, s’insinuant doucement en toi avec une précision qui t’arracha un gémissement plus fort.
Ses mouvements étaient parfaitement synchronisés avec ceux de sa langue, te conduisant doucement mais sûrement vers un plaisir que tu n’avais jamais connu auparavant.
Ton corps tout entier se tendit alors qu’une vague de chaleur te submergeait, te laissant à bout de souffle.
Ton orgasme déferla sur toi comme une tempête, t’arrachant des cris que tu ne cherchais même plus à contenir.
Spencer ralentit ses gestes, prolongeant ton plaisir jusqu’à ce que tu ne sois plus qu’une masse tremblante, incapable de bouger ou de penser à autre chose qu’à lui.
Il remonta lentement le long de ton corps, ses lèvres déposant de doux baisers sur ton ventre, ta poitrine, ton cou, jusqu’à ce qu’il atteigne enfin tes lèvres.
Le baiser qu’il t’offrit alors était tendre, presque chaste, en contraste avec l’intensité de ce qui venait de se passer.
— Tu es incroyable, murmura-t-il, sa voix rauque et empreinte d’une sincérité désarmante.
Tu ouvris les yeux pour croiser son regard, et ce que tu y vis te coupa le souffle.
Il n’y avait ni jugement, ni doute, seulement de l’amour, pur et simple. Tu passas une main tremblante sur sa joue, un sourire hésitant se formant sur tes lèvres.
— Je ne sais pas quoi dire, soufflas-tu, encore ébranlée par ce qu’il venait de te faire ressentir.
— Ne dis rien, répondit-il en pressant un doux baiser sur ton front. Laisse-moi juste te montrer combien tu es parfaite à mes yeux.
Il ressera ses bras autour de toi et posa sa tête sur ta poitrine.
Alors que le sommeil s'apprêtait à vous envelopper, une pensée soudaine vous ramena à la surface. Vous vous redressâtes brusquement, le cœur battant.
— Je ne t’ai rien fait… soufflas-tu, une pointe d’inquiétude dans la voix.
Avant qu’il ne puisse répondre, vous vous penchâtes sur lui, déterminée. Vos mains glissèrent sur son torse, prêtes à descendre vers sa ceinture.
Pourtant, à peine aviez-vous atteint sa taille que Spencer attrapa doucement vos poignets, ses doigts entourant vos bras avec une tendresse désarmante.
— Hé, doucement, murmura-t-il, son ton doux mais ferme. Son regard chercha le vôtre, une étincelle de compréhension mêlée à une infinie patience dans ses yeux.
— Ce n’est pas nécessaire, continua-t-il, une main venant se poser délicatement sur votre joue. Je ne sais pas ce que tes anciens partenaires ont pu te dire ou te faire croire, mais écoute-moi bien. Le sexe n’est pas une transaction, ni une dette. Je t’ai donné du plaisir parce que je voulais que tu te sentes aimée, désirée, pas parce que j’attends quelque chose en retour. Nous avons tout le temps du monde.
Sa voix, empreinte d’une sincérité apaisante, sembla éteindre l’urgence qui battait dans votre poitrine. Vous restâtes un moment figée, ses mots résonnant en vous avec une clarté presque douloureuse.
Puis, doucement, il vous guida pour vous rallonger sur le lit, ajustant la couverture sur vos épaules. Il s’installa à vos côtés, ramenant votre corps contre le sien.
Sa tête se posa sur votre poitrine, là où il pouvait entendre le battement de votre cœur encore affolé.
Ses lèvres effleurèrent votre peau avec une ferveur douce, un baiser qui semblait vouloir effacer toutes les insécurités et les doutes qui vous rongeaient.
— Tu n’as rien à prouver, rien à compenser, souffla-t-il contre votre peau. Ce moment est à nous, rien qu’à nous.
Vos bras se refermèrent autour de lui, un soupir échappant de vos lèvres alors que la tension dans vos muscles se dissipait lentement.
Chaque geste, chaque mot, était une promesse silencieuse qu’il serait là, qu’il ne vous jugerait jamais, et que vous méritiez cet amour inconditionnel qu’il vous offrait.
Tandis que vos paupières se faisaient lourdes, une vague de sérénité vous enveloppa. Les battements de son cœur, réguliers et apaisants, devinrent votre berceuse.
Vous laissâtes un dernier sourire éclairer votre visage avant de sombrer dans un sommeil paisible, vos corps étroitement enlacés, comme si, en cet instant, rien d’autre n’existait que vous deux.
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satinea · 1 month ago
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Un chouia de ceci ou de cela
ça fait du bien
Un chouia de bonheur
quelques minutes suffisent
et tant pis si l'on se répète
une des plus plates banalités :
La vie est belle !
Un chouia d'espoir
quand le pire est passé
et que le sourire est de nouveau permis
Ah ! la petite lueur
la gredine
qui s'est fait tant attendre
Un chouia de santé
quand il arrive à la douleur
d'être magnanimne
et que le corps s'épanouit
déborde de sève
comme un arbre au mitan du printemps
Un chouia d'amitié
son épaule tellement offerte
qu'on ne sent pas le besoin
d'y poser la tête
ses attentions subtiles
au point d'être déconcertantes
Un chouia de poésie
en amour
cela va de soi
gestes et paroles à l'avenant
clin d'œil à peine perceptible
pointe d'humour pas trop acérée
silences lourds de sensualité
Un chouia de bienveillance
car cela fait du bien à autrui
ne pas juger, condamner
avant de comprendre
tendre la main
sans préjuger du mal et du bien
Un plus que chouia d'indignation
qu'il vente, qu'il pleuve
qu'il neige ou fasse soleil
car les injustices sont permanentes
toujours accablantes
toujours inacceptables
Un chouia d'émerveillement
devant les valeurs sûres de la beauté :
visage glorieux de la femme
sans masque
et même avec
regard tutélaire de l'enfant
qui plonge loin en vous
aube en gésine
au chevet du désert
hanté par le souvenir de la mer
Un chouia de ceci ou de cela
au choix
Un numéro gagnant
après toutes ces pertes
auxquelles on s'habitue
comme aux mauvaises nouvelles du jour
aussi prévisibles que le brouillard
et les précipitations
sur les îles Britanniques
Abdellatif Laâbi
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shakeskp · 1 month ago
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Bilan d'écriture 2024 ✨
Bonne année, toute le monde, qu'elle soit pleine d'espoir bien nécessaire et de douceur !
C'est l'heure du bilan d'écriture, qui est donc ultra positif.
D'abord, un point décembre, j'ai fini sur un mois productif à quasi 23 000 mots, éparpillés sur le Soulmate UA Genshin et du Star Wars par bouts, je n'étais pas très concentrée, mais j'ai avancé un peu sur tout, c'est déjà ça !
En 2024, je m'étais encore une fois inscrite au défi @gywo, en m'engageant sur 150 000 mots annuels, un total que j'ai explosé en écrivant 265 295 mots. On ne va pas se mentir, ça fait un peu année outlier that shouldn't be counted, mais je me suis quand même ré-engagée sur 200 000 mots.
Les mots, c'est bien, mais comme l'année dernière, c'est surtout la joie d'écrire qui est à retenir, surtout pendant cette année compliquée sur pleins de plan, personnels autant que géopolitiques.
C'est l'heure des stats ! Tous ces mots, ça veut dire quoi ?
C'est 137 548 mots et 13 fics de publiés, la très grande majorité dans le fandom Star Wars qui m'aura pris par la gorge par surprise cette année. Ils m'ont demandé 183 846 de premiers/second jets.
Les 81 449 restants sont éparpillés sur 13 projets, certains ayant plus de chances d'être oubliés que d'autres 😬
Mon mois le plus productif a été avril avec 40 067 mots, je sais pas ce que j'avais bouffé, écrits sur 25 jours. Le mois durant lequel j'ai passé le plus de jours, c'est mai, avec 28 jours. Le mois le moins productif a été novembre avec 1041 sur une seule journée... Mais une journée productive on va dire ?
Les projets de l'année en cours, c'est de finir le Soulmate UA Genshin, déjà. Dans mes projets Star Wars, j'ai Les Voies Parallèles, un petit bonus aux Voies au sujet des jumeaus ; Springbreak qui me tue à petit feu ; l'UA Qui-Gon Lives qui m'est revenu sans prévenir ce dernier mois et a bien avancé ; le projet Beauty and the Beast, un UA qui se passe après la série Obi-Wan Kenobi ; la Dinluke qui suit De l'Espoir.
Enfin, j'aimerais re-consacrer du temps à mon projet original Hallmark Movie !
J'ai du taff XD
Et si vous êtes venus jusqu'ici, des bouts de fics de plusieurs projets à venir :
Genshin Impact, Soulmate UA :
(Période de leurs études).
Un an plus tard, lors d'une soirée tardive à réviser dans le Foyer de Daena, Kaveh céda à l'épuisement et posa la tête sur son livre. De là, il voyait parfaitement le profil d'Alhaitham, de trois quarts, ce petit pli entre les sourcils qu'il avait malgré lui quand il devait faire un effort de réflexion. L'éclairage à la lampe adoucissait ses traits. Le cœur de Kaveh s'emballa un peu, un tout petit peu.
— Est-ce que tu as une âme sœur ? demanda-t-il tout bas.
Cette question avait été rhétorique, même pas faite pour être entendue. Mais le phono-isolateur d'Alhaitham ne devait pas être enclenché, car il tourna tout de suite les yeux vers lui. Kaveh avait fini par gagner gain de cause, au sujet de l'esthétique - Alhaitham avait prétendu que c'était pour qu'il arrête de le fatiguer, Kaveh avait traduit que c'était pour lui faire plaisir. C'était une première étape sur le chemin ardu qui s'annonçait pour lui faire voir l'intérêt de la beauté, mais c'était déjà ça. Il était particulièrement fier de ce travail, même si, certes, cela avait quelque peu compliqué la tâche d'y incorporer tous les éléments nécessaires.
Kaveh avait pris du retard sur son propre projet pour y arriver, mais peu importait ! Il aurait été hors de question qu'il laisse Alhaitham se promener avec un arceau noir sur la tête.
— Oui, répondit Alhaitham.
Avec un pincement au coeur qu'il nierait jusqu'à sa mort, Kaveh se redressa.
— Pas moi. 
*
Star Wars, Les Voies Parallèles :
Le ton monta très vite, le ton montait toujours très vite entre Leia et Anakin, deux forces de la nature qui s'entrechoquaient. Parce que les talents de diplomate de l'une disparaissaient complètement face à l'autre et que ce dernier acceptait très mal qu'elle grandisse, qu'elle ait grandi  ; parce que Leia cherchait désespérément à le rendre fier et qu'Anakin voulait pouvoir encore la bercer dans ses bras.
Obi-Wan avait appris à les laisser se hurler dessus, du moins jusqu'à ce que... Il jeta un regard à Luke qui s'était rembruni après un « Tu ne sais pas ce que tu veux » d'Anakin qui répondait à un « Je fais ce que je veux et je me fiche de ton opinion » de Leia.
L'adolescent posa sa tasse d'un geste brusque sur la table.
— Papa. Leia.
Sa voix n'était pas monté du tout, mais sa présence dans la Force brûlait tout ce qu’elle touchait. Son père et sa sœur s'interrompirent d'un coup, se tournèrent vers lui, prêts à lui présenter leurs excuses pour ne pas avoir à se demander pardon l'un à l'autre.
Souvent, Obi-Wan regrettait que Luke soit devenu le vaisseau entre eux, leur voix à tous les deux. C'était injuste, même s'il avait endossé le r��le avec sa bonne volonté habituelle. Obi-Wan aurait dû l'inviter à sortir de l'appartement avec lui, à laisser le père et la fille se débrouiller, mais la situation exigeait malheureusement de lui une autre intervention.
— Leia, dit-il, puis-je discuter avec toi un instant ?
*
Star Wars, Springbreak :
La T8-Ex était un petit vaisseau de transport habitable de seize mètres, à la puissance acceptable pour son genre, et surtout relativement maniable. Et elle le serait encore plus une fois qu'Anakin aurait l'occasion de s'y attaquer. L'espace, rentabilisé au maximum, lui permettait d'exécuter des kata lents tant que son sabre laser n'était pas allumé.
Dans l'ensemble, un bon petit appareil.
Un silence terrible y régnait, R2 était sur son pod de charge, et la vibration de l'hyperespace ne comptait pas. Si Anakin se posait et étendait sa perception, il réussirait peut-être à sentir la présence d'autres vies dans la Force, mais c'était désagréable, les distances changeant constamment lui faisait l'effet d'un grésillement.
Te voilà seul.
Sans rien ni personne pour le surveiller, dans un vaisseau spatial pouvant parcourir plus d'une semaine de voyage en hyperespace sans avoir besoin d'être rechargé. La galaxie était à sa portée. 
Il pourrait partir, s'il le voulait.
Et qu'est-ce que tu ferais ? Qu'est-ce que tu ferais, Anakin Skywalker ?
 Tant de choses, en réalité. Pilote ou mécanicien sur tous les vaisseaux possible et imaginables, mercenaire. Il ferait un excellent récupérateur.
Il pourrait aussi chasser tous ceux qui restaient du règne de Palpatine. Pénétrer dans les centres de détention où les procès s'éternisaient et régler le problème d'un coup de sabre. Eux, et ceux qui s'étaient échappés, qui s'étaient fait discrets, ceux qui avaient soutenu en toute « légalité », et restaient sénateur de leur planète, ceux qui avaient retourné leur veste à la dernière seconde.
Anakin connaissait leur nom à tous.
Il se demanda combien de temps il faudrait à l'Ordre pour lui envoyer Obi-Wan aux trousses.
Combien de temps il faudrait à Obi-Wan pour laisser tout ce qu'il faisait et venir le chercher lui-même.
Il était presque tenté de le tester.
*
Star Wars, UA Qui-Gon Lives :
Son com sonna dans sa ceinture, et la voix de Maître Qui-Gon en sortit tout de suite.
— Bonjour, Obi-Wan.
— Bonjour, Maître. J'ai cru comprendre que vous étiez revenu de Sarka 6. J'espère que la mission s'est bien passée.
— À une destruction de speeder près. Quand tu le verras, peux-tu rappeler à Anakin qu'il est attendu en cours de diplomatie ossatienne dans une demi-heure ?
Obi-Wan haussa les sourcils, Anakin fit mine de vomir. 
— Je n'y manquerai pas, dit Obi-Wan en indiquant d'un air sévère la direction générale des salles de classe.
L’adolescent leva les yeux au ciel.
— Je te remercie.
— File, intima Obi-Wan quand Qui-Gon eut raccroché. Je ne te couvrirai pas.
— L'adelphe de lignée de Ferus l'aurait couvert.
— Ferus est le premier padawan de la chevalière Tachi, alors tu n'en sais rien du tout. File !
File, mima Anakin avec une grimace avant de partir au petit trot.
*
Star Wars, Beauty and the Beast :
Comme sortit de nulle part, une silhouette immense, noire surgit dans le couloir. Elle dégageait un froid glacial, un tourbillon de désespoir et de rage qui aspirait tout. Luke hoqueta et cacha le visage dans le cou d'Obi-Wan. 
Celui-ci le serra encore plus fort contre lui, se demandant déjà comment il allait sortir son sabre laser et se battre alors qu'il avait un enfant dans les bras. 
La créature portait une étrange armure d'un noir aussi profond que la Force qui tourbillonnait de colère autour de lui. Ce n'était pas le premier utilisateur du Côté Obscur qu'Obi-Wan croisait, loin de là. Ce n'était même pas le premier Sith, loin de là non plus. Mais il y avait quelque chose chez celui-ci, quelque chose qui le saisissait aux tripes, le glaçait jusqu'à la moelle de ses os.
Tous les enfants se turent.
— Obi-Wan Kenobi, prononça l'Inquisiteur lentement d'une voix caverneuse, déformée, et avec un plaisir perturbant.
— Vous avez l'avantage, répondit Obi-Wan d'un ton léger, je crains ne pas être en mesure de vous identifier.
Il y eut un silence. Autour de l'Inquisiteur, la Force se déchaîna soudain, tous les meubles et les esclavagistes se soulevèrent, puis retombèrent dans un bruit de fracas. Obi-Wan sentit quatre des cinq esclavagistes mourir, un bleu soudain qui s'effaça aussi vite qu'il était arrivé.
Les enfants se remirent à hurler en s'accrochant à ses jambes de toute leur force.
— Chut, chut, intima Obi-Wan, désarmé, cherchant dans son usage rouillé de la Force un moyen de les réconforter, de les faire taire.
Qui savait de quoi l'Inquisiteur était capable ? Un coup de ce sabre laser au goût de sang sur sa langue et ils seraient tous morts avant même qu'Obi-Wan ait pu faire quoi que ce soit.
Qu'est-ce que tu veux faire ? Qu'est-ce que tu peux faire ? Inutile, impuissant.
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ltalaynareor · 2 months ago
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Le roi et la dame
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Jérusalem était une ville vibrante, où les cris des marchands se mêlaient aux prières des fidèles. Au cœur de cette effervescence, Baudouin, se tenait souvent à l'écart, conscient de son état. La lèpre, cette ombre qui le suivait, était un fardeau qu'il portait avec dignité, mais qui l'isolait des autres.
Un jour, alors qu'il se promenait dans les jardins du palais, il aperçut une silhouette familière. C'était Eléa, une jeune femme aux yeux pétillants et au sourire contagieux. Elle était venue à Jérusalem pour aider les nécessiteux, mais sa présence avait un effet bien plus profond sur le roi. Elle avait ce don rare de faire oublier à Baudouin ses douleurs, ses inquiétudes, et même sa maladie.
« Pourquoi es-tu si triste, mon roi ? » demanda-t-elle un jour, en s'asseyant à ses côtés sur un banc de marbre.
« Je ne suis pas triste, juste… pensif, » répondit-il, un sourire se dessinant sur ses lèvres.
Eléa éclata de rire, un son pur qui résonna dans l'air chaud. « Pensif, dis-tu ? Ou peut-être que tu es simplement fatigué de porter le poids de la couronne ? »
Leurs échanges devinrent une routine. Chaque jour, elle venait le voir, apportant avec elle des histoires de la ville, des rires et des rêves. Elle lui parlait de ses espoirs, de ses désirs d’un monde meilleur, et Baudouin, en sa présence, se sentait léger, presque normal. Il oubliait qu'il était roi, qu'il était malade.
Un après-midi, alors qu'ils se promenaient dans les ruelles animées de Jérusalem, Eléa s'arrêta devant un étal de fleurs. « Regarde ces roses, Baudouin. Elles sont magnifiques, mais leur beauté est éphémère. Tout comme nous, n'est-ce pas ? »
Il la regarda, perplexe. « Que veux-tu dire ? »
« La vie est pleine de surprises, et parfois, les choses que nous chérissons le plus peuvent disparaître sans avertir. »
Ces mots résonnèrent en lui, mais il ne voulait pas y penser. Il préférait savourer chaque instant passé avec elle. Les jours passèrent, et leur complicité grandit. Baudouin se sentait revivre, comme si la lèpre qui le rongeait s'évanouissait peu à peu.
Puis, un matin, alors qu'il l'attendait dans le jardin, Eléa ne vint pas. Les heures s'écoulèrent, et l'inquiétude commença à le ronger. Il parcourut les rues de Jérusalem, interrogeant les passants, mais personne ne savait où elle était.
Les jours se transformèrent en semaines, et la douleur de son absence devint insupportable. Un soir, alors qu'il contemplait le ciel étoilé depuis son balcon, une sensation étrange l'envahit. Il se sentit léger, comme si un poids immense s'était levé de ses épaules.
Il se regarda dans le miroir et, pour la première fois depuis longtemps, il ne vit pas le visage marqué par la maladie. La lèpre avait disparu. Étonné, il comprit alors que la magie d'Eléa ne résidait pas seulement dans sa présence, mais dans la lumière qu'elle avait apportée dans sa vie.
Il se leva, déterminé à la retrouver. Peut-être que, tout comme sa maladie, elle n'était pas vraiment partie. Peut-être qu'elle l'attendait quelque part, prête à lui redonner le sourire.
Jérusalem, avec ses mystères et ses promesses, était encore pleine d'espoir.
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ptns-orageuses-rpg · 2 months ago
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LES MINI-JUSTICIERS
Il y a l'oiseau qui siffle : l'un de leur blase en TT pour leur dernière vidéo, leur dernier stream. Les Mini-Justiciers, c'est une alliance : ce sont des altéré·es qu'ont commencé à percer sur la toile. Iels ont trouvé ça pertinent de s'comparer à ce dessin-animé de notre jeunesse. Plutôt que de rester chacun·e dans leur coin, iels profitent ensemble, se promeuvent, s'aident. Parce que s'afficher avec leurs altérations, ça rapporte son lot de problèmes.
Plus ou moins politiques dans leur propos : leur image le reste. Iels se mettent en contact avec les Zarbi·es, font des streams caritatifs pour le Refuge de Bescel. Iels promeuvent une vie altérée normalisée, affichée : des tutos beautés plus inclusifs et des vlogs dans les catacombes. Sûrement qu'iels s'attendaient pas à ça, lorsqu'iels ont allumé pour la première fois leur caméra. Maintenant, iels incarnent le porte-parole d'une communauté qui n'a jamais eu accès à la notoriété.
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WALIBY — nb / m (libre) • ≈ 30ans
L'influenceur préféré de ton influenceur préféré ; le plus populaire des altéré·es sur la toile. D'abord, connu pour ses tutos beautés, c'est aujourd'hui un mec avec autant de casquettes qu'il fait de trucs. C'est rare de le voir tourner seul, souvent il s'accompagne d'autre mini-justiciers. Ce qui le porte, c'est son sentiment de justice, un devoir de protection qu'a éclot dans son passé. A toutes les manifs, il est là ; à chaque drama, il monte au créneau. Un peu trop sauveur, parfois ; il est du genre à serrer le poing sans pour autant se contenir. La décision de faire les mini-justiciers vient de lui. Ses apparitions sont plus sporadiques sur ses chaines persos, c'est quelqu'un de très occupé. C'est un bosseur avec des idées de grandeur pour la communauté. Son entourage a parfois juste un peu peur de le voir se brûler les ailes au soleil. Mais qui n'est pas utopiste ne peut avancer selon lui.
FT. Omar Apollo, ...
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LA ROSE — f / nb (libre) • ≈ 30ans TW - guerre.
Mioche, elle a connu les obus, le feu et la faim. Immigrée avec papa, elle arrive en France sans un mot de la langue à De Veil. Son histoire est une vraie sucess story : l'exception à la panne de l'ascenseur social. Elle s'fait d'abord connaître pour de la chanson, des reprises, puis ses propres morceaux. Aujourd'hui, c'est un large sourire qui dirige son entreprise. Omniprésente sur les réseaux, TikTok et YouTube, les gens suivent son quotidien et le soir : c'est pas rare de danser sur ses 16. Engagé·e à la cause altérée, c'est une proche du Refuge de Bescel. Elle signe des chèques, organise des actions caritatives. Les droits de l'enfant, ça lui parle : c'est les premiers opprimés quand les rues se transforment en tranché. Elle n'a pas peur de balancer une story militante, malgré les grimaces de sa maison de disque. Une franchise que personne lui reproche, au contraire.
FT. Dua Lipa, ...
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GAB' — nb / m (libre) • ≈ 25ans
Les gens attendent ses vidéos comme la sortie du prochain film. Spécialiste des longues productions, c'est un passionné de musique et de cinéma. Il retrace des histoires d'acteurs, de musicienne : n'hésite pas à faire découvrir des altéré·es dans le lot. C'est LE jeune cool et branché : chaque upload, c'est le TT et la toile qui parle que de ça pendant deux jours. Il raconte bien, filme bien. Il incarne cette porte ouverte sur la culture sans verbe soporifique. Son rêve, ça a toujours été de faire son propre film. Il s'est rabattu sur YouTube, mais garde ce but dans un coin de sa tête. Gab', c'est ce mec chill, le type qu'a l'air de jamais paniqué. C'est une source sûre, un mec d'une sensibilité profonde et d'une apaisante maturité émotionnelle. C'est un très bon pote d'Adams et Puzzle, s'invite souvent dans leur prod'. Mais c'est surtout le meilleur ami d'Olympus, c'est lui qu'il l'a fait découvrir autour d'une des vidéos les plus regardées de sa chaine.
FT. Luka Sabbat, ...
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ADAMS — nb (libre) • ≈ 25ans TW - horreur.
Iel a une altération qui fait flipper, en rapport avec le paranormal. Adams a décidé que ce serait le problème des autres, pas le sien. Le fait qu'elle ne gobe plus de Kataline, c'est le plot twist que tout le monde a vu arriver. Ses vidéos ? Du qui fait peur, de l'horreur, de la bonne vieille chasse aux fantômes vibe bug de l'an 2000. On compte plus ses feat avec Puzzle, toujours paumé·es dans les catacombes, toujours à escalader une grille d'un lieu abandonné. Les gens les ship, c'est vrai qu'iels ont une proximité étrange. Ça a le mérite d'être un secret mieux gardé que sa non-prise de médocs. Adams vit dans les catacombes, c'est pas parce qu'elle est pas techniquement recherchée qu'elle fait la maline dehors. C'est une petite figure là-bas, profite de son temps libre pour aller au Refuge. Le soir, c'est pas rare de le·a croiser en soirée, iel regrette un peu l'anonymat parfois : mais heureusement les altéré·es sont plus respectueux·ses sur ce genre de trucs.
FT. Lizeth Selene, ...
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PUZZLE — f / nb (libre) • ≈ 25ans
Quand les journalistes parlent d'elle, ils utilisent des expressions à soupirer genre : « haute en couleur » ou « petit bout de femme surprenante ». La vérité, Puzzle c'est la meuf la plus drôle du YouTube game fr. Jamais fatiguée, toujours prête à renouveler son format : elle s'est spécialisée dans les voyages atypiques et les vlogs d'urbex. Elle a un petit problème de conservation, adore mettre sa vie en danger. Kiffe conduire sur circuit, s'amuse à faire du parkour sur les toits de Paris. Mais ce qu'elle préfère plus que tout, c'est trainer dans les pattes d'Adams. Les vidéos de Puzzle ont toujours un fond de philosophie. Elle parle énormément d'acceptation de son altération, elle montre les incroyables possibilités du corps altéré. Elle-même, elle subit les humeurs d'une altération vénère : ça ne rend que ses exploits plus impressionnants. Son militantisme s'étend sur la création des branches altérés dans les sports, dans les activités : son rêve, c'est d'arriver à faire des JO altérés.
FT. Deba Hekmat, ...
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OLYMPUS — f / nb (libre) • ≈ 25ans TW - mort.
C'est bizarre d'être introvertie et d'être connue. Sa vie c'est une succession de hasard bizarre et d'imprévu chelou. C'est loin d'être un long fleuve tranquille, c'est plus une courte cascade sur des rapides déchainées. Elle prend souvent la flotte, Olympus, l'impression de noyer et de pagayer pour rien. Dans la liste des choses qu'elle garde privée : elle a été hébergée et sauvée par les Misérables. Et elle est morte, une fois : c'était un jour de pluie. Olympus travaille avec les boules de poil et les écailles. C'est une passionnée d'animaux avec des études de véto avortée. Elle a une connexion avec tous les êtres vivants, elle adore même les plantes. C'est la meuf qui travaille en collab avec la SPA, joint l'association à celle du Refuge de Bescel. C'est surtout sur insta et TikTok qu'elle émerge, même si, avec les mini-justiciers, c'est sur toutes les plateformes qu'elle se produit maintenant. Sa popularité, elle a explosé sur cette vidéo en collab avec Gab'.
FT. Ayo Edebiri, ...
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Si vous souhaitez réserver l'un de ses PLs, n'hésitez pas à passer dans nos asks ou de nous rejoindre sur le discord ! En espérant qu'ils vous inspirent !! Si les faceclaims sont libres, on t'invite à privilégier des faceclaims racisés ! Si tu as besoin de la moindre info, de la moindre aide, n'hésite vraiment pas à nous déranger !
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thomtmexploration · 8 months ago
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Je visite avec vous l'Abbaye de Maillezais
⛪ Bonjour et bienvenue ! 💒
🎥🔽Vidéo🔽🎞️
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📷🔽Photos après le texte. 🔽🖼️
Je visite avec vous l'Abbaye de Maillezais. C'est un site historique magnifique situé en France, dans la région des Pays de la Loire en Vendée. Fondée au XIe siècle, l'abbaye a une histoire riche et fascinante. Elle a été un centre spirituel et culturel important pendant des siècles. Abbaye Saint-Pierre de Maillezais appelez aussi: Abbaye du Marais Poitevin ou du Poitou.
Aujourd'hui, l'Abbaye de Maillezais est une attraction touristique populaire, attirant des visiteurs du monde entier pour admirer son architecture impressionnante et en apprendre davantage sur son passé. Les visiteurs peuvent explorer les ruines de l'abbaye, dont l'impressionnante église romane et les jardins paisibles qui entourent le site. L'Abbaye de Maillezais est un lieu chargé d'histoire et de beauté, et c'est un incontournable pour tous ceux qui s'intéressent à la culture et à l'histoire françaises.
De plus, la visite de l'abbaye est agrémentée de jardins qui offrent un moment de détente et de contemplation. N'hésitez pas à visiter ce joyau historique lors de votre prochain voyage en France ! Son site internet: https://nossites.vendee.fr/abbaye-de-maillezais
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de-gueules-au-lion-d-or · 4 months ago
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Paris, comme Rome, est une ville idéale pour les mélancoliques et les nostalgiques. Les vestiges de sa grandeur passée, sa beauté à la fois immuable et dégradée, son altière décadence sont le décor parfait du romantisme blessé. Une ville désormais peuplée de teufeurs, de hipsters et d'un lumpen prolétariat totalement acculturé mais dont les pierres respirent encore l'art et la littérature, la violence historique et la volonté impériale. Un écrin aujourd'hui vide mais toujours enivrant. Il suffit de marcher au hasard, exposé à toutes les embuscades de beauté et de poésie, et de garder constamment le regard au niveau du premier étage des maisons et immeubles, juste au dessus de la zone où commencent le grouillement et le pourrissement. Ne rien écouter, surtout, ni les palabres des passants, ni les vociférations des obsédés téléphoniques, juste ressentir. Oublier les remugles de pisse se dégageant du clodo vautré sur le trottoir, les vociférations des camés du cellulaire, les éructations des racailles en goguette, la triste passivité des bouches de métro dégueulant leur diarrhée quotidienne de post-humains zombifiés. S’imaginer à une autre époque, en un autre temps, dans les pages d’un roman de Malet ou de Simenon, espérer croiser un mousquetaire ou un hussard au coin de la rue, inventer une barricade, une canonnade, s’évader pour pas cher… La magie de Paris survit à tous les outrages, et si l’on veut bien souvent quitter et fuir ce qu’elle est devenue, c’est en gardant toujours, quelque part au fond de l’âme et du coeur, l’espoir d’y revenir un jour.
Xavier Eman
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septperceptions · 1 year ago
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Je suis une amoureuse de l'amour. Je passe mon temps à romantiser ma vie. À voguer dans le passé. À me balader dans mes précieux souvenirs. Je chéris ma mémoire pour protéger mes souvenances. Le mécanisme du cerveau me fascine. Ce pouvoir de filtrer les aspects négatifs d'un traumatisme avec le temps ou même de le dissoudre entièrement. La vie m'a offert le cadeau de ressentir intensément, le monde appelle ça l'hypersensibilité. Il est vrai, que l'émotion me frappe comme les vagues sur le sable. Je suis un torrent, j'aime les détails et leur beauté. J'observe tout ce qui est transparent, imperceptible. Être avec moi, c'est être charmé par mon sourire, mon côté solaire et ne plus du tout me reconnaître lors des jours de pluie. Je suis une tempête. L'amour me transperce, il ne me fait plus vivre. Je disparais quand il arrive. Je rêvasse de mes promenades dans Paris la nuit, j'aimerais revenir à ces soirs où l'amour ne me terrorisait pas. Comment le moteur de ma vie a pu devenir la cause de mes insomnies, de l'angoisse qui me ternit ? Comment peut-il se confondre avec ses semblants, survenir dans mes cauchemars ?
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les-portes-du-sud · 2 years ago
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Notre longue vie n'est qu'un ensemble de nombreuses petites vies, chacune d'une journée. Et chaque jour, vous devez vivre dans l'amour et la beauté, admirer les fleurs et les oiseaux, profiter de la poésie. Une journée passée à discuter, une journée où l'on peut admirer le coucher du soleil et sentir la fraîcheur du vent, ne peut pas être qualifiée de perdue.
© Nicolas Sparks
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anna-el-le · 2 months ago
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2024, tu as été l’année la plus éprouvante de ma vie, et pourtant, aussi l’une des plus marquantes.
Ces 365 jours m’ont changée, profondément. Tu m’as poussée dans mes retranchements, m’obligeant à faire face à ce que j’aurais préféré ignorer. Je suis tombée, plus d’une fois, et parfois si bas que je pensais ne jamais me relever. Mais, malgré tout, je n’ai jamais laissé la douleur me clouer au sol plus d’une journée.
Tu m’as pris ma plus belle étoile, un morceau de mon ciel. Tu as réveillé des fantômes que je pensais avoir enterrés pour de bon. Tu as compliqué ma santé, comme pour m’offrir une boucle familière, un rappel cruel d’un passé que je connais trop bien. Mais tu ne t’es pas arrêtée là. Entre les épreuves, tu as laissé des traces de lumière. Tu m’as montré que je donnais trop, parfois au détriment de moi-même. Et puis, doucement, tu as placé sur mon chemin des personnes inattendues. Des âmes que je n’aurais peut-être pas remarquées dans une autre vie, mais qui, cette fois, sont restées. Et elles ne se sont pas contentées de passer. Elles ont pris racine dans ma vie et dans mon cœur, m’apprenant que plus jamais je ne serais seule. Désormais, aucun obstacle ne sera affronté sans soutien.
Tu m’as aussi soufflé une vérité brutale : la vie est courte, parfois trop courte. Il faut se recentrer sur ce qui compte vraiment. Et aujourd’hui, en regardant en arrière, je sais ce qu’est l’essentiel : eux. Mes deux petits rigolos. Mes meilleurs amis. Mes amours. Ils m’ont tout appris, ou plutôt, ils m’ont réappris. Car ce n’est pas moi qui les élève, ce sont eux qui m’élèvent. Ils m’apprennent l’amour, le vrai. Pas celui qui blesse, qui ment ou qui écrase. Mais celui qui pardonne, qui endure et qui ne lâche jamais. Avec leurs pansements Pat’Patrouille et Spiderman, ils recouvrent des blessures que je pensais scellées à jamais. Ils me ramènent là où je m’étais perdue, dans cette partie de moi que je ne reconnaissais plus. Ils calment mes colères, apaisent mes peurs, et deviennent mes guides dans ce labyrinthe qu’est la vie. Ils m’apprennent à m’aimer, là où moi, j’avais oublié comment faire. Cette année, ils ont soufflé cinq et deux bougies. Ils remplissent mes jours de rires, de larmes, et d’une tendresse brute, si belle qu’elle en est parfois douloureuse. Alors, pour eux, j’ai tout changé.
Je leur ai offert une maison dans le Sud, bercée par le chant des cigales et l’odeur de la Méditerranée. Et un chalet niché entre trois montagnes, où règnent le silence, les batailles de boules de neige et l’odeur de la fondue. Je voulais qu’ils grandissent entourés de beauté, même quand moi, à l’intérieur, je me sentais brisée.
À force de tout porter, j’ai fini par lâcher prise.
J’ai dansé. Partout. Dans la rue, sous la pluie, debout sur une table, dans mon salon avec eux, sous la neige, dans les couloirs d’un hôpital, ou pieds nus sur le sable. J’ai dansé quand tout semblait s’écrouler, pour oublier que parfois, la vie est un cyclone qui emporte tout sur son passage.
Et au milieu du chaos, j’ai appris à respirer.
Je me suis envolée, loin. Nouvelle-Calédonie, Écosse, Dolomites, Rome, Londres, Bilbao, Majorque, Genève. J’ai fui, un peu, et en fuyant, j’ai retrouvé quelque chose que j’avais perdu : moi-même.
2025, je t’attends. Je sais que tu ne me ménageras pas. Je sais que tu apporteras ton lot de tempêtes. Mais cette fois, je suis prête. Je suis fatiguée, c’est vrai, mais je suis aussi pleine d’une étrange sérénité. Cette année, je vais continuer à me reconstruire. Et tu verras, cette version de moi sera belle.
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ilballodellavitarpg · 2 months ago
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𝔩𝔞 𝔳𝔦𝔱𝔞 𝔣𝔦𝔬𝔯𝔢𝔫𝔱𝔦𝔫𝔞
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Vivre à Florence, c’est s’immerger dans un quotidien où passé et présent s’entrelacent harmonieusement. Les Florentins, porteurs d’une fierté locale inébranlable, partagent un amour commun pour la beauté sous toutes ses formes, qu’il s’agisse de la splendeur d’un tableau Renaissance ou de la perfection d’un cappuccino matinal pris dans une petite trattoria baignée de lumière. 𝔏𝔢 𝔯𝔶𝔱𝔥𝔪𝔢 𝔡𝔢 𝔩𝔞 𝔳𝔦𝔢 Les journées florentines s’ouvrent lentement. Le matin, les ruelles de l’Oltrarno s’animent doucement, avec le tintement des cloches d’église et le froissement des journaux dans les cafés. Les habitants prennent leur temps, discutant longuement avec les commerçants ou flânant devant les vitrines des artisans. À l’heure du déjeuner, la ville ralentit. Les Florentins se retrouvent autour d’une table pour partager des plats traditionnels comme la ribollita ou la bistecca alla fiorentina. Ces repas, souvent ponctués de discussions animées, reflètent l’importance de la convivialité. Le soir, Florence change de visage. Les grandes places s’emplissent de groupes d’amis, de familles et d’étudiants discutant sous les lampions des terrasses
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L𝔢𝔰 𝔣𝔢̂𝔱𝔢𝔰 𝔢𝔱 𝔱𝔯𝔞𝔡𝔦𝔱𝔦𝔬𝔫𝔰 𝔣𝔩𝔬𝔯𝔢𝔫𝔱𝔦𝔫𝔢𝔰 𝔩𝔢 𝔖𝔶𝔪𝔭𝔬𝔰𝔦𝔲𝔪 𝔡’𝔬𝔲𝔳𝔢𝔯𝔱𝔲𝔯𝔢 (20 𝔞𝔬𝔲̂𝔱) Organisé chaque année en août, le Symposium d’ouverture marque la rentrée intellectuelle de Florence. Pendant une journée, philosophes, artistes et chercheurs se réunissent sur les marches du Palazzo Vecchio pour échanger leurs idées. Des débats ouverts au public alternent avec des présentations de recherches dans des lieux emblématiques tels que la Bibliothèque Laurentienne. Le soir, des projections artistiques illuminent les façades des bâtiments historiques, prolongeant cette ode à la pensée. 𝔩𝔞 𝔰𝔢𝔪𝔞𝔦𝔫𝔢 𝔡𝔢𝔰 𝔅𝔦𝔢𝔫𝔣𝔞𝔦𝔱𝔢𝔲𝔯𝔰 (5 𝔪𝔞𝔦 - 12 𝔪𝔞𝔦) Chaque printemps, les jardins de Boboli accueillent des expositions éphémères et des conférences. Des prix sont décernés aux projets les plus innovants, tandis que des banquets somptueux rassemblent les figures influentes de la ville. Les Florentins, bien que parfois critiques de l’approche élitiste de cet évènement, participent volontiers aux festivités, attirés par leur éclat et leur raffinement, ouvert à tous, depuis quelques années. 𝔏𝔞 𝔫𝔲𝔦𝔱 𝔡𝔢𝔰 𝔐𝔞𝔫𝔲𝔰𝔠𝔯𝔦𝔱𝔰 (𝔢𝔫𝔱𝔯𝔢 𝔩𝔢 20 𝔢𝔱 𝔩𝔢 25 𝔣𝔢́𝔳𝔯𝔦𝔢𝔯) Cette tradition clandestine, orchestrée par les Di Michelangelo, est un secret bien gardé. Chaque hiver, des passionnés d’histoire et de littérature se réunissent dans une chapelle reculée ou une crypte oubliée. À la lueur des bougies, des textes anciens sont lus et débattus, mêlant érudition et poésie. Cet événement incarne une résistance intellectuelle face à la modernisation parfois brutale de la ville. 𝔩𝔢 𝔖𝔠𝔬𝔭𝔭𝔦𝔬 𝔡𝔢𝔩 ℭ𝔞𝔯𝔯𝔬 (𝔭𝔞̂𝔮𝔲𝔢𝔰) Cette célébration pascale, voit un char orné de feux d’artifice tiré par des bœufs mécaniques à travers la ville. Au-delà de son aspect religieux, cet événement est une fête collective où les Florentins et les visiteurs se rassemblent pour admirer la beauté spectaculaire des explosions lumineuses devant la cathédrale Santa Maria del Fiore. 𝔏𝔞 𝔣𝔢̂𝔱𝔢 𝔡𝔢𝔰 𝔏𝔞𝔫𝔱𝔢𝔯𝔫𝔢𝔰 (1 𝔡𝔢́𝔠𝔢𝔪𝔟𝔯𝔢) Inspirée par les traditions médiévales, cette fête automnale célèbre la lumière et la créativité. Les habitants fabriquent des lanternes en papier qu’ils portent en procession jusqu’aux rives de l’Arno. Là, des discours poétiques et des concerts s’enchaînent, transformant la ville en un tableau vivant.
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𝔩𝔢𝔰 𝔢𝔰𝔭𝔞𝔠𝔢𝔰 𝔡𝔢 𝔳𝔦𝔢 𝔢𝔱 𝔡’𝔢́𝔠𝔥𝔞𝔫𝔤𝔢𝔰 À Florence, les marchés sont bien plus que des lieux de commerce : ils sont des cœurs battants de la vie locale. Le Marché de Sant’Ambrogio accueille artisans, écrivains et musiciens. Il n’est pas rare de voir un étudiant lire à haute voix un poème tandis qu’un peintre esquisse des portraits pour les passants. Les cafés littéraires, soutenus par les Dei Michelangelo, proposent des conférences informelles ou des soirées d’écriture collaborative. Les Florentins chérissent aussi les espaces naturels. Les jardins de Boboli ou le Piazzale Michelangelo deviennent des lieux de rendez-vous où les habitants discutent de tout : art, politique ou les rumeurs de la dernière exposition.
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𝔪𝔬𝔢𝔲𝔯𝔰 & 𝔡𝔦𝔳𝔢𝔯𝔰𝔦𝔱𝔢́ Historiquement, Florence a été un carrefour intellectuel et culturel où des figures venues d’horizons variés ont trouvé refuge. La ville reste imprégnée de cet esprit cosmopolite. Aujourd’hui, les quartiers populaires comme celui de San Frediano et les marchés comme Sant’Ambrogio témoignent d’une diversité culturelle florissante, où langues et cuisines du monde se mêlent à l’accent toscan traditionnel. Les minorités ethniques, religieuses et LGBTQ+ trouvent en Florence un espace d’expression relatif. Certains florentins restent attachés à une élite traditionnelle et leur tendance à privilégier des cercles fermés ralentissent ainsi l’intégration de certaines communautés.
Florence continue de s’appuyer sur ses traditions humanistes pour façonner un idéal de tolérance. L’Université Aurea di Firenze joue un rôle central dans cette mission. Elle accueille des conférences internationales sur les droits de l’homme, des ateliers sur la décolonisation des arts et des échanges académiques avec des pays du Sud global. Les Florentins eux-mêmes, bien que parfois tiraillés entre conservatisme et ouverture, restent fiers de leur héritage culturel universel. Les fêtes traditionnelles, comme La Fête des Lanternes, sont repensées pour inclure les contributions des nouvelles communautés.
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